Les chansons indociles Le nouvel album d’Yves Desrosiers Montréal, le 5 octobre 2007 – Personnage essentiel dont l’influence a marqué un pan important de la musique québécoise, Yves Desrosiers prend le devant de la scène avec la parution d’un premier album entièrement à son image. Encensé pour son travail auprès des Jean Leloup, Lhasa, Richard Desjardins et plusieurs autres, ce créateur aux multiples talents distille aujourd’hui son propre univers à travers 11 titres originaux, attrapés au lasso sur Les chansons indociles. Ce disque longuement mûri marque une nouvelle étape pour le chanteur et musicien à l’âme vagabonde. Ses chansons indociles vivent leur bohème urbaine comme autant de chats de ruelle échappés de la maison Desrosiers, dont la douceur domestiquée côtoie l’état sauvage. Habile mélodiste et véritable alchimiste du son, Yves Desrosiers propose un album aux ambiances musicales éclectiques, tenues en laisse par l’esthétique à la fois percussive et planante qui incarne désormais sa signature. Une empreinte d’autant plus présente qu’elle s’est étendue à toutes les étapes du processus créatif. Artiste à tout faire, Desrosiers a en effet tenu les rôles de chanteur, musicien, compositeur, auteur, arrangeur et réalisateur sur ce projet enregistré presque en totalité dans son studio. Bien qu’il y signe trois textes, la plupart des paroles sont issues de la plume boulimique du réalisateur-comédien Robin Aubert (St-Martyrs-Des-Damnés), à l’exception de « Maria » écrite par Bïa. Complices depuis l’époque de la Sale Affaire, Gilles Brisebois et François Lalonde, assurent la rythmique alors que des invitées telles Mara Tremblay, Sandra Jo Luciantonio (Gogh van Go) et Marie-Soleil Bélanger contribuent pour leur part à l’élaboration de délicats emballages musicaux. Avec ce nouvel album regorgeant de chansons aussi savoureusement indociles que « Circus », « Les métaux noirs », « Fumée blanche », « Le déporté » ou « Égarement clérical », Yves Desrosiers démontre avec panache qu’il appartient à cette catégorie d’artistes qui savent faire de la chanson avec un grand C. Débuté en mode rock’n’roll au sein de formations telles Les Taches, Gogh van Go et la Sale Affaire de Jean Leloup à la fin des années 80, la carrière d’Yves Desrosiers s’oriente davantage vers la chanson au cours de la décennie suivante avec l’aventure des Quarts de rouge et sa désormais célèbre collaboration avec Lhasa de Sela. Guitariste émérite, compositeur et arrangeur iconoclaste, Desrosiers bouleverse les codes établis avec la réalisation de l’album La Llorona de Lhasa qui connaîtra un succès éclatant. Il est par la suite invité à réaliser, entre autres, Kanasuta de Richard Desjardins et Hungry Ghosts de Frédéric Gary Comeau. Premier projet solo, son album Volodia paru en 2002 rend hommage au poète russe Vissotsky et démontre son attrait viscéral pour la chanson. Également compositeur de musiques de films, il a notamment signé les trames sonores des longs métrages Le coeur au poing de Charles Binamé et St-Martyrs-Des-Damnés de Robin Aubert.- 30 -
Audiogram vous convie au lancement du nouvel album de
Yves Desrosiers
le mercredi 17 octobre Verre Bouteille
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Album en magasin le 16 octobre