Aliocha se présente dans sa plus simple expression sur Naked, son deuxième album disponible dès aujourd’hui.

Guitares dépouillées, groove sensuel, poésie frontale… Aliocha ose le pari de la simplicité sur Naked, un deuxième album qui s’exhibe sans fioritures. S’affranchissant de ses influences folks les plus manifestes, l’auteur-compositeur-interprète issu de la talentueuse famille Schneider s’est bâti une signature singulière et insoupçonnée, au croisement du rock, du soul, du blues et de la dream pop.

Au centre de cette proposition audacieuse et dégourdie : une voix prenante, autant capable de sensualité que de mordant. Une voix qui prend toute la place qui lui revient, tout en laissant une place à des arrangements épurés, foisonnants et riches en simplicité. Une fois de plus réalisé par le renommé Samy Osta, à qui l’on doit notamment l’acclamé L’oiseleur de Feu! Chatterton, le successeur d’Eleven Songs (2017) a été enregistré à Paris au courant des derniers mois, bénéficiant de l’étincelante chimie entre le réalisateur français et l’artiste québécois.

De la saisissante et déroutante ouverture The Party à l’incursion psych americana Moon, en passant par l’envoutant brulot soul Peggy , la surprenante exploration trap bluesée Turn to Grey , la langoureuse Your Sex Is Perfect et la complainte folk sobre Run Baby Run, Aliocha se dévoile avec aplomb et sensibilité, sans honte et sans pudeur.

Ce deuxième album arrive à un moment charnière dans la carrière du chanteur et comédien. Accumulant les millions d’écoutes sur les plateformes de streaming, Aliocha a eu la chance de se produire dans plusieurs festivals de renom dans les dernières années, notamment le Festival international de jazz de Montréal, The Great Escape à Brighton, Reeperbahn à Hambourg, le Printemps de Bourges et le FNAC Live à Paris. Celui qui multiplie les allers-retours entre l’Europe et le Canada a maintenant le monde dans sa ligne de mire.