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Clement Jacques lance Consumed and Guilty, un premier album criant de vérité

Après avoir lancé son premier extrait accrocheur « Nothing’s Gonna Change », Clement Jacques s’apprête à prendre le monde musical d’assaut avec son attendu premier album Consumed and Guilty.

Figure déjà bien connue à Québec et au Saguenay, où il brûle les planches depuis quelques années déjà, Clement Jacques s’apprête à porter son folk inspiré jusqu’au bout des chemins. Au terme d’un processus durant lequel aura été poli le diamant brut de son talent, le voilà fin prêt à offrir au public Consumed and Guilty, un disque à la mesure de ses élans et de ses démesures, fruit d’une étroite complicité avec le réalisateur Éloi Painchaud.

Les deux artistes, qui se sont découvert une passion commune pour les Wood Brothers, ont su canaliser les idées qui jaillissaient dans tous les sens dans la tête et sous les doigts de Clément. Une démarche dont l’essentiel s’est joué durant un séjour de trois mois dans les Laurentides, «entre le lac, le trampoline et les micros», dira le principal intéressé. Ont aussi mis l’épaule à la roue des musiciens tels Guillaume Tondreau, André Lavergne, Maxime Bellavance, tandis que Jorane a couché les couleurs de son violoncelle sur «Sheltered From Their Lies» et qu’Antoine Gratton a fait chanter le Wurlitzer sur «Nothing’s Gonna Change». On ajoute à ce scénario de rêve un mixage signé Carl Bastien, et nous voilà devant un pur bijou de folk teinté de pop et de country.

Clement Jacques a écrit et composé lui-même la plupart des titres, en plus d’avoir collaboré à l’écriture de «Beggar» avec Éloi et à celle de trois autres, dont «The Shore», avec Tim Bader, avec qui le jeune artiste a réalisé un fructueux stage d’écriture à Los Angeles, en 2007.

La musique de Clement Jacques est indissociable de son parcours, de son inaliénable désir de devenir quelqu’un de mieux, de plus complet. En témoigne une pièce comme «Better Man», par exemple. Un souci de vérité qui se reflète clairement dans la production de Consumed and Guilty, un album qui respire, qui craque et transpire. «Ceux qui écoutent bien, annonce-t-il, entendront même la pluie qui tombait sur le toit pendant l’enregistrement de "Sad Song For Sad People"» Dans cette pièce, une adresse à Dieu, transparaît toute la quête spirituelle de Clement Jacques, particulièrement sensible aux notions de foi et de rédemption.

Nothing’s Gonna Change? Pas sûr. Avec de telles cartes dans son jeu, avec cette voix d’une maturité étonnante, qui prolonge une âme vivante et une soif de vrai, la vie va peut-être changer un peu pour Clement Jacques. Une histoire à suivre…

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Clement Jacques launches Consumed and Guilty, an amazingly true-to-life first album

After he launched his catchy first single “Nothing’s Gonna Change”, Clement Jacques is about to take the music world by storm by releasing his awaited first album Consumed and Guilty.

Clement Jacques, a well-known figure on the Québec City and Saguenay music scenes where he has been performing for several years now, is getting ready to take his inspired folk to all ends of the world. Following a process during which he refined the diamond in the rough, he is finally all set to release Consumed and Guilty, an album that lives up to his fervour and unbridled energy and is the fruit of a close partnership with producer Éloi Painchaud.

The two artists, who found they shared a common passion for the Wood Brothers, succeeded in channelling the ideas that have sprung from Clement’s imagination and the frets of his guitar. The undertaking for the most part was played out during a three-month stint in the Laurentians, “between the lake, the trampoline and the mikes,” says the man of the hour. Other musicians such as Guillaume Tondreau, André Lavergne and Maxime Bellavance also put their shoulder to the wheel, while Jorane provided the manifold nuances of her cello on “Sheltered From Their Lies” and Antoine Gratton made his Wurlitzer sing on “Nothing’s Gonna Change.” When you add Carl Bastien’s sound mixing to this ideal scenario, the final product is a pure gem of folk tinged with pop and country.

Clement Jacques wrote and composed most of the tracks, and collaborated with Éloi for “Beggar.” On three other songs, including “The Shore”, he worked with Tim Bader, with whom the young musician carried out a highly constructive writing workshop in Los Angeles in 2007.

Clement Jacques’ music is an integral part of his journey, of his inalienable desire to become a better and more complete person, and a song like “Better Man” bears witness to this quest. His need for truth is clearly reflected in the production of Consumed and Guilty, an album that breathes, that perspires. “If you listen closely,” he says, “you can actually hear the rain falling on the roof during the recording of "Sad Song for Sad People." On this track, which is a message addressed to God, Clement Jacques – who is particularly concerned with matters of faith and redemption – reveals the true scope of his spiritual quest.

Nothing’s Gonna Change? Not so sure about that. As he holds all the cards, and with his surprisingly mature voice, which is a pure reflection of his vibrant spirit and thirst for truth, life just may change a bit for Clement Jacques. Definitely someone to keep an eye on.

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